Avant toute chose, au nom de Laura et de nous tous,
nous souhaitons vous remercier très sincèrement pour vos marques de sympathie,
vos messages et vos articles à l'occasion du départ de Neko.
Nous n'avons pas répondu à vos commentaires
mais ils ont tous été lus attentivement et grandement appréciés.
Merci à tous, votre amical soutien fait chaud au cœur.
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Nous reprenons donc maintenant la suite de la visite aux minous du Centre Hospitalier de Thuir.
Vous pourrez découvrir quelques autres pensionnaires méconnus de ces lieux dans leur cadre de vie, bien différent de celui de nos amis de St-Jean.
♦ Nouveau secteur, nouveaux chats :
Un autre lieu, toujours paisible et assez vert. De nouveaux copains pointent rapidement leurs moustaches gourmandes.
Des nouveaux, gourmands et pas vraiment sauvages
Un petit diaporama pour découvrir cette sympathique tribu
Ici, comme sur les autres points, les chats se regroupent autour des pavillons dans des zones disposant de larges espaces de verdure.
Une petite particularité amusante : lorsque nous sommes arrivés sur place nous n'avons vu que 2 ou 3 représentants félins locaux. C'était en début de soirée, il faisait très chaud.
En discutant avec le personnel qui les connait bien, nous avons eu une explication assez étonnante.
"Ah oui, ne vous inquiétez pas, il fait encore trop chaud, ils sont dans les arbres du parc, mettez à manger et ils vont arriver".
Ce qui fut fait aussitôt, et bien entendu nos greffiers arboricoles sont descendus de leurs perchoirs.
Heureux minets malgré tout, qui connaissent les arbres, les buissons et les espaces verts sans trop de restrictions.
Vous noterez la présence un bel d'un beau spécimen noir et blanc.
Il semble inconnu au bataillon et pas trop farouche. Un copain local ou nouveau venu à stériliser ?
Il va falloir s'occuper de son trappage pour contrôler qui il est vraiment.
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♦ Les mésaventures de Gaïa :
Gaïa, nommée aussi Cyprine (ils sont spécialistes de la double identité les félins du coin !), vous l'avez rencontrée dans la première partie de cet article.
Peu de temps après cette visite, elle nous a été signalée présentant une sorte d'excroissance au niveau de sa bouche.
Pas normal cha !
Retour sur le site peu de temps après, capture de la belle et direction le cabinet vétérinaire.
Un kyste lui est enlevé, il ne semble pas trop inquiétant et notre sauvageonne pourra retourner tenir compagnie à ses amis.
Je vous dis et vous répète que je veux rentrer chez moi ! Me touchez pas !
Compte-tenu de son désir imminent de regagner ses pénates, notre Cyprine / Gaïa a rejoint "paisiblement" sa petite bande et semble depuis se porter le mieux possible.
Groumpf, on est quand même mieux ici, non ?
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Vous avez eu un aperçu non exhaustif de l'autre famille de l'hôpital, à 30 kilomètres de St Jean.
D'autres conditions, d'autres chats, d'autres vies.
Un contexte plus paisible et moins bétonné, une assez bonne acceptation de leur présence, mais n'oublions jamais qu'ils restent des minous de la rue, des chats libres exposés à des aléas importants et aux dangers quotidiens.
Et si nous en parlons moins, ils ne sont pas moins soignés (comme vous venez de le voir), nourris et aimés.