Là bas, malgré un espace restreint, Mali s'épanouit pleinement. Un peu craintif à son arrivée, il n'a desormais plus peur de la position debout, réclame sans arrêt des calins et est tellement à l'aise qu'il se met désormais à jouer avec le plumeau, chose qu'il dédaignait à son arrivée.
Aujourd'hui, personne ne croirait qu'il y a seulement quelques mois, Mali ne connaissait pas la vie d'appartement.
Cette machine à ronron a besoin d'une famille sans chat, et souhaite avoir beaucoup d'attention. Le seul hic est que Mali ne supporte pas d'être en cage de transport, il lui faudra donc trouver une famille définitive dans la région de Nantes.
Vous l'aurez compris, Mali est tellement pot de colle, que les photos sont difficiles à prendre... vous excuserez donc ces dernières.
Et pour finir: le malheureux est sur le lit. (Pour la petite histoire, Mali est bien élevé, il attend que le reveil se mette en route pour sauter sur ses bipèdes et réclamer ses premiers calins de la journée.Je vous assure, c'est vraiment une qualité pour un chat de l'hôpital, les miens n'ont toujours pas compris cela...)